Psaumes de David
57,12 Et l’on dira : “Oui, on gagne à être juste, il y avait bien un Dieu pour juger le monde !”. ( ) 58,1 Au maître de chant. Sur l’air “ne détruis pas…”. De David. Poème. Lorsque Saül envoya garder sa maison pour le mettre à mort. ( ) 58,2 Mon Dieu, délivre-moi de mes ennemis, protège-moi contre mes agresseurs. ( ) 58,3 Délivre-moi des hommes malfaisants et sauve-moi des violents. ( ) 58,4 Que de monde à l’affût sur mes pas, combien de puissants ameutés contre moi ! Mais je n’ai, Seigneur, ni faute, ni péché, ( )

58,5 je n’y suis pour rien s’ils accourent et se préparent : éveille-toi, viens à moi et regarde.


( )
58,6 Seigneur, Dieu Sabaot et Dieu d’Israël, réveille-toi, fais rendre compte à ces païens, sois sans pitié pour tous ces renégats. ( ) 58,7 Ils reviennent au soir, ils aboient comme des chiens qui rôdent par la ville. ( ) 58,8 Ils disent des horreurs sans même se cacher, leurs lèvres s’ouvrent, il en sort des épées : “Qui donc pourrait nous entendre ?” ( ) 58,9 Mais toi, Seigneur, tu t’en amuses, tu te moques de tous ces païens. ( ) 58,10 Ô toi, ma force, je regarde vers toi, ma forteresse, c’est Dieu. ( )



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