Psaumes de David
57,4 Ces méchants sont dévoyés dès le sein de leur mère, ces menteurs n’en sont sortis que pour s’égarer. ( ) 57,5 Ils ont du venin, un venin de serpent, ils sont sourds comme l’aspic quand il se bouche l’oreille ( ) 57,6 et ne veut pas entendre la voix du charmeur qui sait l’art de charmer le serpent. ( ) 57,7 Ô Dieu, brise-leur les dents dans la bouche, arrache, Seigneur, les crocs des lionceaux. ( ) 57,8 Qu’ils s’écoulent comme l’eau d’un vase qui perd, qu’ils se fanent comme l’herbe piétinée. ( )
57,9 Qu’ils soient comme la limace qui se fond en marchant, ou comme l’avorton qui ne voit pas le jour,
( )
57,10 comme ronces brûlées avant de donner l’épine. Qu’un ouragan les emporte ! ( ) 57,11 Le juste verra la sanction, elle fera sa joie, il lavera ses pieds dans le sang du méchant. ( ) 57,12 Et l’on dira : “Oui, on gagne à être juste, il y avait bien un Dieu pour juger le monde !”. ( ) 58,1 Au maître de chant. Sur l’air “ne détruis pas…”. De David. Poème. Lorsque Saül envoya garder sa maison pour le mettre à mort. ( ) 58,2 Mon Dieu, délivre-moi de mes ennemis, protège-moi contre mes agresseurs. ( )
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