Psaumes de David
54,18 Le soir, le matin, à midi, je me plains et m’afflige : lui m’entendra. ( ) 54,19 Oui, il m’a retiré de la bataille et m’a donné la paix : ils étaient nombreux pourtant contre moi. ( ) 54,20 Dieu entendra, lui qui règne depuis toujours, il les rabaissera. Pourraient-ils se convertir ? ils ne craignent pas Dieu. ( ) 54,21 On lève la main contre ses amis, on ne respecte pas ses engagements, ( ) 54,22 la bouche se fait douce comme une crème, mais le cœur est armé. Les paroles sont douces, pommadées, mais l’épée est au clair. ( )
54,23 Décharge ton fardeau sur le Seigneur, lui répondra pour toi ; il ne laisse pas le juste à terre pour toujours.
( )
54,24 Tu les jetteras, Seigneur, au puits de la mort : violents ou fourbes, ils n’atteindront pas la moitié de leurs jours ! Mais moi, je me fie en toi. ( ) 55,1 Au maître de chant. Sur l’air “la silencieuse colombe des pays lointains…”. De David. Poème. Lorsque les Philistins s’emparèrent de lui à Gat. ( ) 55,2 Ô Dieu, aie pitié de moi quand on me harcèle ! tout le jour l’assaillant me presse, ( ) 55,3 tout le jour il me harcèle et me regarde me débattre. Qu’ils sont nombreux, mes adversaires ! C’est en toi, Très-Haut, ( ) 55,4 que je me confie, le jour où je prends peur : ( )
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