Psaumes de David
54,5 Mon cœur se met à battre, une angoisse mortelle m’étreint, ( ) 54,6 crainte et tremblements s’emparent de moi, la frayeur me paralyse ( ) 54,7 et je dis : “Si j’avais seulement l’aile de la colombe, je volerais jusqu’où je puisse me poser. ( ) 54,8 Je m’enfuirais au loin, je passerais la nuit au désert. ( ) 54,9 Je me trouverais en hâte, dans la tempête, un abri contre le vent déchaîné, ( )

54,10 quand leur langue, Seigneur, dévore et divise. Je ne vois dans la ville que violence et querelles,


( )
54,11 jour et nuit elles en occupent les murailles ; au-dedans c’est l’injustice et le crime, ( ) 54,12 astuce et tromperie sont à demeure sur la place. ( ) 54,13 Si l’offense venait d’un adversaire, je le supporterais, si un ennemi se dressait contre moi, je me cacherais de lui. ( ) 54,14 Mais c’est toi, un homme de ma condition, un compagnon, un familier. ( ) 54,15 Ensemble nous allions à la maison de Dieu, la confidence au cœur. ( )



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