Psaumes de David
34,13 Mais moi, s’ils étaient malades je prenais le sac, je jeûnais et faisais pénitence, je ne cessais de redire ma prière. ( ) 34,14 J’allais comme perdu, comme pour mon frère, comme pour un ami j’allais tout courbé, comme on pleure sa mère. ( ) 34,15 Mais à peine je tombe, ils s’en amusent, les voilà rassemblés tous ensemble contre moi, comme des étrangers, des inconnus. ( ) 34,16 Ils ne cessent de me déchirer, de vrais hypocrites qui ne cessent de se moquer et de grincer des dents contre moi. ( ) 34,17 Seigneur, vas-tu rester à regarder ? Arrache-moi à ces lions rugissants : je n’ai qu’une vie ! ( )

34,18 Je dirai tes louanges à la grande assemblée, je te célébrerai quand tout le peuple est là.


( )
34,19 Ne permets pas qu’ils se rient de moi, et qu’ils se fassent des clins d’œil à mon sujet, ces ennemis, ces menteurs qui n’ont pas d’excuses. ( ) 34,20 Car ce n’est pas la paix qu’ils préparent pour les gens paisibles du pays. Ils ont mis au point des discours mensongers ( ) 34,21 et ils parlent ouvertement contre moi. Ils disent : “Oui, nous l’avons vu.” ( ) 34,22 Mais toi, Seigneur, tu as vu, ne te tais pas, ne t’éloigne pas de moi, Seigneur. ( ) 34,23 Éveille-toi et lève-toi, rends ton jugement. Seigneur, mon Dieu, parle à mon procès. ( )



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