Psaumes de David
9,31 Il guette, il est là caché, et le malheureux tombe en son pouvoir. ( ) 9,32 Il pense en lui-même : “Dieu oublie, il n’a pas voulu voir, il ne voit jamais rien.” ( ) 9,33 Lève-toi, Seigneur, mon Dieu, lève ta main, n’oublie pas les malheureux. ( ) 9,34 Faut-il donc que les méchants te méprisent et qu’ils pensent : “Dieu ne fera pas d’enquête” ? ( ) 9,35 Tu as vu, toi, le chagrin et la peine, car tu regardes et tu les prends dans ta main. À toi s’abandonne le malchanceux, c’est toi qui portes secours à l’orphelin. ( )
9,36 Brise le bras de l’injuste et du méchant, demande-lui des comptes et que sa méchanceté disparaisse à jamais.
( )
9,37 Voici que le Seigneur est roi et c’est pour toujours, les païens ont disparu de sa terre. ( ) 9,38 Car tu entends, Seigneur, l’aspiration des humbles, tu raffermis leur cœur et tes oreilles écoutent ( ) 9,39 pour faire justice à l’orphelin et à l’opprimé, et que l’homme, né de la terre, jamais plus n’agisse en tyran. ( ) 10,1 Au maître de chant. De David. Je me confie dans le Seigneur ; pourquoi donc me dites-vous : “Fuyez, oiseaux, vers vos montagnes ( ) 10,2 c’est l’heure où les méchants bandent leur arc, ajustent la flèche sur la corde et visent dans l’ombre les hommes au cœur droit”. ( )
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