Livre de Job
39,18 Mais dès qu’elle se lève et s’élance, elle se rit du cheval et de son cavalier. ( ) 39,19 Est-ce toi qui donnes au cheval sa vigueur, qui revêts son cou d’une crinière, ( ) 39,20 et le fais bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement répand la terreur. ( ) 39,21 Il piaffe dans la vallée, joyeux de sa force, il s’élance au devant des armes. ( ) 39,22 Il se moque de la peur, il ne s’effraie pas et ne recule pas devant l’épée. ( )

39,23 Il soutient les chocs du carquois, les étincelles de la lance et du javelot.


( )
39,24 Frémissant d’impatience, il dévore l’espace, il ne tient plus en place s’il entend la trompette. ( ) 39,25 Dès que sonne la trompe, pour lui c’est : “Allons-y !”, de loin il a flairé la bataille, le chambard des chefs et les cris de guerre. ( ) 39,26 Est-ce toi qui as prévu l’envol du faucon, lorsqu’il déploie ses ailes vers le midi ? ( ) 39,27 Est-ce sur ton ordre que l’aigle s’élève, ou qu’il a bâti son nid là-haut ? ( ) 39,28 Il s’installe sur son rocher, il y passe la nuit dans sa forteresse, sur une dent de roche. ( )



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