Livre de Job
31,28 Cela encore serait un crime détestable, car j’aurais renié le Dieu Très-Haut. ( ) 31,29 Me suis-je réjoui du malheur de mon ennemi, ai-je dansé de joie quand l’épreuve le frappait ? ( ) 31,30 Non, je n’ai pas permis que ma bouche faute en lui souhaitant la mort ! ( ) 31,31 Tous disaient dans ma tente : “À qui n’a-t-il pas donné, largement, sa viande ?” ( ) 31,32 L’étranger ne passait pas la nuit dehors, car j’ouvrais mes portes au voyageur. ( )

31,33 Ou bien aurais-je, c’est humain, caché mes fautes et refusé de reconnaître mes torts ?


( )
31,34 Ai-je alors vécu craignant les rumeurs, redoutant le mépris des familles, m’enfermant chez moi dans le silence ? ( ) 31,35 Ah ! qui me donnera d’être entendu ? Je le signe : que le Puissant maintenant me réponde, que l’adversaire écrive son réquisitoire : ( ) 31,36 je le porterai sur ma poitrine, je m’en ferai des couronnes. ( ) 31,37 Je lui rendrai compte de tous mes pas, je me présenterai chez lui comme un prince. {40c}Fin des paroles de Job. 32 ( ) 31,38 Si ma terre a crié vengeance contre moi, et qu’avec elle mes sillons ont pleuré, ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 36