Livre de Job
24,14 Avant le jour l’assassin s’est levé, pour tuer le pauvre et l’indigent ; ( ) 24,15 mais déjà l’adultère attend l’ombre du soir : “Que nul œil ne me voie !” se dit-il, et il met une étoffe sur son visage. {14c Le voleur rôde dans la nuit ; ( ) 24,16 de jour il avait repéré les maisons, dans l’obscurité il les force. ( ) 24,17 L’heure sombre, pour eux, c’est le matin ; quand il brille, c’est alors qu’ils ont peur. ( ) 24,18 Ils sont comme l’écume à la surface des eaux et dans le pays on maudit leur domaine, on évite de traverser leurs vignes. ( )

24,19 Comme la chaleur dessèche les eaux de neige, le royaume des morts absorbe le pécheur.


( )
24,20 Le sein qui l’a formé l’oublie, nul ne rappelle son nom : l’injustice déjà n’est qu’un arbre brisé. ( ) 24,21 Il maltraitait la femme sans enfants, il ne faisait aucun bien à la veuve. ( ) 24,22 Mais quand le Puissant s’en prend aux grands seigneurs, quand il se lève, leur vie même n’est plus sûre. ( ) 24,23 Il les laissait confiants en leur sécurité, mais ses yeux veillaient sur leurs actes. ( ) 24,24 Un moment ils ont été grands, et puis plus rien. Ils retombent comme les herbes cueillies, ils se fanent comme la tête des épis. ( )



trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35