Livre de Job
20,3 Quand on me remet en place de façon humiliante, mes pensées m’inspirent une réponse. ( ) 20,4 Ne sais-tu pas que depuis toujours, depuis que l’homme a été mis sur terre, ( ) 20,5 le triomphe des méchants est de courte durée la joie de l’impie n’est que d’un instant. ( ) 20,6 Sa taille a beau s’élever jusqu’au ciel, et sa tête toucher les nuages, ( ) 20,7 comme un fantôme il disparaît pour toujours, et ceux qui le voyaient demandent : “Où est-il ?” ( )

20,8 C’est comme un rêve envolé : on ne le trouve plus, comme un fantasme de la nuit : il a fui.


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20,9 On s’était habitué à le voir : c’est fini, les lieux qu’il fréquentait ne le reverront plus. ( ) 20,10 Ses fils rembourseront les pauvres, de ses mains, peut-être, il redonnera sa fortune. ( ) 20,11 Sa carcasse était pleine de force juvénile, la voilà couchée avec lui dans la poussière ! ( ) 20,12 Sa bouche savourait le mal, il le cachait sous sa langue, ( ) 20,13 il l’aimait tant qu’il ne le lâchait pas mais le gardait sous son palais… ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 35