Livre de Job
15,2 Un savoir aussi creux, est-ce la réponse d’un sage : rien qu’un vent d’est, et le voilà rempli ! ( ) 15,3 Il parle, et ce sont des critiques négatives, des mots qui n’apportent rien. ( ) 15,4 Voilà que tu renverses la sainte crainte, tu ne veux plus penser à la manière de Dieu. ( ) 15,5 Ton fond mauvais te fait parler, et te fournit des raisons paradoxales. ( ) 15,6 Ce sont tes mots qui te condamnent, pas moi, ta propre bouche témoigne contre toi ! ( )
15,7 Es-tu né le premier dans l’espèce humaine, venu au jour quand les montagnes n’étaient pas ?
( )
15,8 Quand Dieu décidait, étais-tu là pour entendre, as-tu fais main basse sur la sagesse ? ( ) 15,9 Que sais-tu que nous ne sachions ? Comprends-tu des choses qui nous échappent ? ( ) 15,10 Dans notre camp sont nos aînés, les anciens : ils seraient plus âgés que ton père. ( ) 15,11 Tu ne veux donc pas des consolations de Dieu et des paroles qu’on te dit gentiment ? ( ) 15,12 Pourquoi réagir avec tant de passion, pourquoi ces regards égarés, ( )
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