Livre de Job
14,10 Mais l’homme aussitôt mort se défait : quand il a expiré, où voudrait-on qu’il soit ? ( ) 14,11 La mer pourrait perdre ses eaux, les fleuves se vider et rester secs, ( ) 14,12 celui qui gît ne se relèvera pas ! Pas de réveil pour lui tant que durent les cieux, les humains ne sortiront pas de leur sommeil. ( ) 14,13 je voudrais que tu me gardes dans le monde d’en bas, que tu m’y caches, le temps que passe ta colère, et que tu fixes un jour pour te souvenir de moi. {14b Là-bas, tant que durerait mon service, j’attendrais l’heure de la relève. ( ) 14,14 S’il était possible qu’un mort revive, ( )

14,15 Alors tu appellerais et je te répondrais, tu viendrais réclamer l’œuvre de tes mains.


( )
14,16 Fini le temps où tu comptais tous mes pas : tu ne regarderais plus mes péchés, ( ) 14,17 tu bouclerais ma faute dans un sac et blanchirais mes dettes. ( ) 14,18 Mais non ! La montagne s’éboule, le rocher cède, ( ) 14,19 les eaux creusent les pierres, l’averse emporte les terres ; et l’espoir de l’homme, tu l’enlèves ! ( ) 14,20 Tu le terrasses : c’est fini, il s’en est allé ; tu le défigures et tu l’envoies au diable. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34