Livre de Job
13,27 Pourquoi mettre mes pieds dans les ceps, Surveiller tous mes mouvements, Tracer une limite à mes pas, ( ) 13,28 Quand mon corps tombe en pourriture, Comme un vêtement que dévore la teigne? ( ) 14,1 L'homme né de la femme! Sa vie est courte, sans cesse agitée. ( ) 14,2 Il naît, il est coupé comme une fleur; Il fuit et disparaît comme une ombre. ( ) 14,3 Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert! Et tu me fais aller en justice avec toi! ( )

14,4 Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur? Il n'en peut sortir aucun.


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14,5 Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir, ( ) 14,6 Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu'il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée. ( ) 14,7 Un arbre a de l'espérance: Quand on le coupe, il repousse, Il produit encore des rejetons; ( ) 14,8 Quand sa racine a vieilli dans la terre, Quand son tronc meurt dans la poussière, ( ) 14,9 Il reverdit à l'approche de l'eau, Il pousse des branches comme une jeune plante. ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34