Livre de Job
8,14 Sa confiance s’accrochait à un fil, il faisait fond sur une toile d’araignée. ( ) 8,15 Il s’appuie sur sa maison, et elle cède, il s’y accroche : elle s’écroule. ( ) 8,16 Il était plein de vigueur au soleil et couvrait le jardin de ses jeunes pousses : ( ) 8,17 ses racines serpentaient sur la pente, elles s’accrochaient entre les roches. ( ) 8,18 À peine l’as-tu arraché de sa place, elle le renie : “Je ne t’ai jamais vu !” ( )

8,19 Le voilà pourrissant sur le chemin : un autre bientôt est sorti du sol.


( )
8,20 Non ! Dieu ne méprise pas celui qui est parfait, pas plus qu’il ne soutient ceux qui sont malfaisants. ( ) 8,21 Il remplira encore ta bouche de rires, et mettra sur tes lèvres les cris de joie. ( ) 8,22 Tes ennemis seront couverts de honte, et l'on ne verra plus la demeure des méchants ( ) 9,1 Job prit la parole et dit : ( ) 9,2 Oui, je le reconnais, tout cela est vrai : comment un homme aurait-il raison contre Dieu ? ( )



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Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 34