Livre de Job
8,8 Demande à l’ancienne génération, et remonte à l’expérience de leurs pères. ( ) 8,9 Car nous sommes nés d’hier et ne savons guère, nos jours passent sur terre comme une ombre. ( ) 8,10 Mais eux peuvent t’instruire et te parler, et ces quelques mots te diront ce qu’ils sentent : ( ) 8,11 “Le papyrus va-t-il pousser hors des marais ? Le roseau se développera-t-il sans eau ? ( ) 8,12 Même vert, avant qu’on le coupe avant toute autre plante il se dessèche”. ( )

8,13 C’est ainsi que termine celui qui oublie Dieu, et que se perdent les espoirs de l’impie.


( )
8,14 Sa confiance s’accrochait à un fil, il faisait fond sur une toile d’araignée. ( ) 8,15 Il s’appuie sur sa maison, et elle cède, il s’y accroche : elle s’écroule. ( ) 8,16 Il était plein de vigueur au soleil et couvrait le jardin de ses jeunes pousses : ( ) 8,17 ses racines serpentaient sur la pente, elles s’accrochaient entre les roches. ( ) 8,18 À peine l’as-tu arraché de sa place, elle le renie : “Je ne t’ai jamais vu !” ( )



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