Livre de Job
6,9 qu’il se décide enfin à m’écraser, qu’il laisse aller sa main et me supprime. ( ) 6,10 Ce serait pour moi une consolation, une dernière joie dans mes tourments, de n’avoir pas renié les paroles du Saint. ( ) 6,11 Aurai-je encore la force d’attendre, et quel avenir puis-je encore espérer ? ( ) 6,12 Ai-je la résistance du roc, et ma chair est-elle de bronze ? ( ) 6,13 Je ne peux plus rien pour m’en tirer, et tout autre secours a fui loin de moi. ( )

6,14 Quand on refuse à un ami sa compassion, on lui fait perdre la crainte du Tout-Puissant.


( )
6,15 Mes frères ont été pour moi un ruisseau trompeur, un torrent dont les eaux n’ont qu’un temps : ( ) 6,16 ce n’était que la fonte des glaces, elles sortaient de dessous les neiges. ( ) 6,17 Vienne la saison sèche et elles tarissent, dès qu’il fait chaud leur lit est à sec. ( ) 6,18 Les caravanes en perdent leur chemin, elles s’enfoncent dans l’inconnu et s’y perdent. ( ) 6,19 Les caravanes de Teima s’y repéraient, les voyageurs de Chéba s’y dirigeaient, ( )



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