Livre de Job
2,5 Peut-être pourrais-tu étendre la main pour le frapper dans ses os et sa chair. Alors sûrement il te maudirait en face !” ( ) 2,6 Yahvé dit à Satan : “Soit ! Je te le livre, mais respecte sa vie.” ( ) 2,7 Satan se retira de devant Yahvé et il frappa Job de plaies purulentes, depuis la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête. ( ) 2,8 Job s’assit alors sur un tas de cendres et ramassa un morceau de poterie pour se gratter. ( ) 2,9 Sa femme lui dit : “Vas-tu te maintenir dans ta parfaite fidélité ? Maudis Dieu et meurs !” ( )

2,10 Il lui répondit : “Tu parles comme une insensée ! Si nous acceptons le bonheur que Dieu nous donne, pourquoi n’accepterions-nous pas aussi le malheur ?” En tout cela, Job ne pécha pas en paroles. ICI COMMENCENT LES POÈMES DE JOB


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2,11 En apprenant tous les malheurs qui étaient arrivés à Job, trois de ses amis voulurent le visiter, et ils vinrent, chacun de son pays. C’étaient Élifaz de Téman, Bildad de Chouah et Sofar de Nahama. Ils s’étaient mis d’accord pour aller le plaindre et le consoler. ( ) 2,12 Quand de loin ils levèrent les yeux et le virent, ils ne purent le reconnaître. Ils commencèrent à se lamenter et à pleurer ; chacun déchira son manteau, puis ils jetèrent en l’air de la poussière qui leur retombait sur la tête. ( ) 2,13 Ils restèrent ainsi sept jours et sept nuits près de lui, assis par terre. Aucun d’eux ne lui adressait la parole, car ils voyaient combien grande était sa douleur. Maudit soit le jour où je suis né ! ( ) 3,1 Alors Job ouvrit la bouche pour maudire le jour de sa naissance. ( ) 3,2 Et voici ce que dit Job : ( )



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