Lecture d'un commentaire (11784)


Lc 2,29

Commentaire: S'il suffit à une femme malade de toucher simplement le bord du vêtement de Jésus pour être guérie, que devons-nous penser de Siméon, qui tint ce divin enfant dans ses bras? Quelle dut être sa joie de porter dans ses bras celui qui était venu pour briser les chaînes des captifs, et qui seul, il le savait, pouvait le tirer de la prison de son corps avec l'espérance de la vie future? « Et il bénit Dieu en disant: C'est maintenant, Seigneur, que vous laisserez aller en paix votre serviteur ».


Source: Origène (Peronne-Vivès 1868)